La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1555)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1554) -
Chapitre 19 : Les soucis de Charles ! -
celle de mes parents esclaves MDE !
Difficile de voir partir Antoine sans le toucher, sans lembrasser, sans même lui serrer la main pour lui dire au revoir. Je lavais accompagné jusquà sa voiture et le regardais séloigner tranquillement sur ce chemin poussiéreux. Juste avant le virage menant au portail, il sortait un bras de la portière de son véhicule pour me saluer une dernière fois. Je rentrais alors, avec un brin de tristesse mêlée de romantisme. Ce garçon était beau, athlétique, gentil, humble et honnête. Chose était sûre, jéprouvais, peut-être pour la première fois, des sentiments amoureux, tout au moins une certaine affection et de la tendresse pour lui. Antoine était tendre, attirant, attachant, dune grande authenticité et dune sensibilité à mon égard que jai su capter. Pour prolonger un peu plus encore cet état chimérique et poétique dans lequel je me trouvais, je minstallais, allongé sur le divan, pour écouter les danses hongroises de Brahms. A cet instant précis, jéprouvais une sensation de bien-être, avec lesprit reposé. Sauf quici, à la Bastide, ces temps étaient courts, beaucoup trop courts
Déjà, quelquun venait de frapper à ma porte.
- Bonsoir Monsieur Alexandre !
Charles était essoufflé, comme sil venait de courir un marathon.
- Que vous arrive-t-il Charles, tenez, installez-vous dans un fauteuil, vous me semblez à bout de souffle
- Cest le cur, Monsieur Alexandre
mon palpitant nest plus tout jeune ! Dès que je suis énervé ou angoissé, il me joue des tours.
- Il faudrait voir un cardiologue, Charles.
- Jy pense et puis joublie, comme dit la chanson
- Ce nest pas raisonnable Charles, vous devez consulter !
- Oui, je le ferai
mais pour lheure, jai dautres soucis en tête, on commence dans dix jours.
- Vous commencez quoi, Charles ?
- Vous, Monsieur Alexandre, si je peux me permettre, vous nêtes pas dans votre assiette ! On commence la vendange, pardi !
« Quel con tu es, mon pauvre Alex ! » pensais-je. Charles avait raison, mon esprit était ailleurs, comme dans la brume ou dans la ouate. Il fallait me ressaisir rapidement :
- Dites-moi mon bon Charles, ça fait combien de temps que vous travaillez ici ?
- Trente-six ans, Monsieur Alexandre, pourquoi cette question ?
- Vous avez lhabitude et lexpérience, vous nous avez toujours fait du bon vin, alors pourquoi vous mettre dans un état pareil ?
- Cest que cette année, ce nest pas pareil
. Jai des soucis pour consti mon équipe de vendangeurs !
- Mais vous avez votre équipe dhabitués
- Oui, sauf que quatre me font défaut cette année
et pas des moindres ! Les quatre polonais
et ben
Y viennent pas ! Jai appris ça hier au soir
et depuis je stresse
et mon cur bat la chamade.
- Allons, mon brave Charles, calmez-vous ! Faut pas stresser comme ça ! Nous allons bien trouver une solution !
- Heu
ben voilà,
peut-être que jen ai une
mais jai besoin de votre accord, car cette solution vous implique !
- Ah ? Je vous écoute Charles.
Charles mexpliquait quil avait rencontré Marcel, tôt ce matin dans les vignes. Il lui avait parlé de ce problème de main duvre. Marcel lui avait dit quil trouverait une solution, mais quil devait préalablement en parler à Monsieur le Marquis dEvans.
- Quatre de ses gars pourraient venir vendanger chez nous, Monsieur Alexandre, mais si Monsieur le Marquis donne Son accord, alors il faudra les nourrir et les loger.
- Les loger ?
- Oui, on pourrait les installer au-dessus du cuvage, dans ce dortoir qui nous servait par le passé, vous vous rappelez Monsieur Alexandre ?
- Oui je me souviens, mais ce lieu doit-être dans un piteux état, il y a bien longtemps quil na pas servi.
- Louise ira faire le ménage, et je moccuperai à remettre en place les sanitaires.
- Bien !, répondis-je un peu perplexe
- Daprès Marcel, ce sont des gars robustes et peu regardants, il ma dailleurs dit que vous les avez croisés lautre jour dans les vignes, vous vous rappelez deux ?
Je déglutissais bruyamment
Oh combien je men rappelais ! Je me souvenais parfaitement oui, peut-être plus de leurs grosses bites que de leurs visages
Comment oublier ce « gang-bang » bestial et en pleine nature, au milieu des rangs de vignes, où chacun leur tour, lun après lautre, ou lun avec lautre, ils mavaient ravagé bouche et cul sans modération. Soudainement troublé, je regardais Charles droit dans les yeux, sans plus un mot
Je minquiétais de savoir si ce rustre Marcel avait tout dit, sil avait annoncé à ce brave Charles ce qui sétait réellement passé dans les vignes. Avec cet homme lourdaud, grossier, brute, je craignais le pire.
- Cette solution ne vous convient pas Monsieur Alexandre ?
- Si Charles, elle me parait tout à fait bien.
Sans le savoir Charles me mettait dans les griffes de ces sauvages pervers affamés de sexe. Je comprenais mieux pourquoi, ils souhaitaient être logés ici
pour mieux mutiliser, me baiser à leur convenance, le soir, après leur boulot
Je tremblais encore, me demandant sils sauraient se tenir pendant les heures de travail passées dans les vignes.
- En retour, jai proposé mes services à Marcel, une fois que nous aurions fini de vendanger à la Bastide, pour aller travailler au Château de Monsieur le Marquis
Vous savez ce quil ma répondu, ce balourd ?
- Non pas encore Charles !
- Tes trop vieux Charles, tu ne nous serviras à rien
moi trop vieux
quel toupet
et en plus que je ne sers plus à rien
Il a rajouté en parlant de vous
Charles restait sans voix quelques secondes, les yeux humides, il reprenait sa respiration lentement.
- Désolé Monsieur Alexandre, ces mots me font mal, même lorsquils sortent de la bouche de cet ahuri et abruti, et je reste poli !
Charles était réellement blessé.
- Désolé encore Monsieur Alexandre, il faut que je vous livre les mots de ce goujat de Marcel
Il ma dit en parlant de vous
Cest le jeunot quon veut, lui nous sera utile, cest à prendre ou à laisser, je te file quatre de mes gars, tu les loges, les nourris, et tu nous files ton petit blanc-bec, sitôt le travail fini chez toi !
Je ne suis pas fier de vous dire ça Monsieur Alexandre, vous qui êtes si bon avec moi
- Ne vous inquiétez pas Charles
Je ne suis même pas vexé ! Jirai travailler au Château dEvans, ainsi on règle votre problème de main duvre.
Charles relevait les yeux jusquici posés sur ma main caressant les siennes.
- Je ne suis pas serein de vous envoyer au Château de Monsieur le Marquis dEvans
Votre père y est parti un jour, il est revenu sept ans après
- Soyez sans crainte Charles, je nattendrais pas sept années pour revenir près de vous.
Charles se relevait difficilement, il me regardait encore sans rien dire, comme sil y avait parfois des silences qui étaient plus forts et plus éloquents que de longs discours, puis regagnait la porte dentrée. Juste avant de partir, il sadressait une dernière fois à moi :
- Tout ceci nest pas encore fait, il faut que Monsieur le Marquis dEvans donne Son accord !
Le vieil homme levait les yeux au ciel et cette fois-ci me quittait. Je le regardais partir dun pas hésitant, le dos un peu arcbouté. Je ne me faisais guère dillusion sur les intentions du Maître, évidemment quil donnerait Son accord, mais ça
Charles ne le savait point encore !... Peu après, je me mettais à table pour dîner sommairement. Je navais guère faim ce soir-là car je minquiétais de ma première journée de travail avec ce Martial Montambert. Outre cette sodomie promise, quallait-il me faire subir dautre ? « Arrête de te poser des questions Alex, suis lexemple desclavantoine ! » pensais-je en grimpant les marches me conduisant à létage.
Que se passait-il dans ma tête ce soir-là
Jamais je nétais entré dans cette chambre, dans leur chambre, depuis leur disparition brutale. Tout était comme si mes parents venaient de quitter cette pièce, comme sils allaient revenir dun moment à lautre. Sur le lit, le peignoir en soie de maman posé négligemment, sur sa coiffeuse, un stick de rouge à lèvres non rebouché, à coté un flacon de parfum Chanel N° 5, son unique parfum, que jallais humer ! Que de souvenirs à cet instant
La montre de mon père était posée sur le marbre de la commode ancienne, ses pantoufles rangées soigneusement aux pieds de celle-ci. Je poussais la porte de leur salle de bain, et ouvrait machinalement un premier tiroir du meuble sous le lavabo. Il y avait là, le rasoir de papa, la brosse à cheveux de maman avec quelques cheveux blonds accrochés dans celle-ci. Au second tiroir, je souriais
là bien rangé, un godemichet, deux colliers en cuir épais portant les Armoiries du Noble et une cage de chasteté
« Les coquins !... mais après tout pas si coquins que ça, car je ne pourrais jamais leur reprocher davoir vécu leur propre Nature servile », pensais-je tout haut. Je sursautais soudainement de peur lorsque mon téléphone se mit à sonner, comme si jétais en train denfreindre ou de transgresser lintimité de feu mes parents
- Je vous présente mes respects, Maître
- Bonsoir salope, demain matin à 6 heures, tu mattendras devant les grilles du Château.
- A Vos Exigences, Maître.
- Tu me conduiras à lentreprise Kinet Export, sur ce, bonne nuit, Ma putain !
Le Châtelain avait déjà raccroché. Je regagnais ma chambre, prenais une douche, me couchais... Au petit matin, lorsque le réveil sonna, il métait bien difficile de dire si javais bien dormi ou pas
Je pris mon petit-déjeuner en vitesse, me lavais une nouvelle fois, mhabillais et partais. Sur la route me conduisant au Château, javais ce ressenti me rappelant mes rentrées scolaires, avec cette sensation physique désagréable, stressé avec la boule au ventre... Pendant plus dun quart dheure, devant la lourde grille du Château, jattendais Monsieur le Marquis. Lorsquil mapparut, je me précipitais pour lui ouvrir la portière et me prosterner ensuite.
- Aller zou, lève toi Mon chien !, on file ! Je tautorise juste à embrasser rapidement le bout de Ma chaussure et en route !
Je ne me fis pas prier pour envoyer un sincère baiser sur le cuir de sa chaussure brillante et parfaitement bien cirée
Durant tout le trajet, le Noble, élégamment vêtu dun magnifique costume gris anthracite, dune parfaite chemise blanche, dune cravate bordeaux nouée impeccablement, ne madressa pas la parole. A voir Son costume, il maurait fallu des mois et des mois de travail pour me loffrir !
Lorsquon arriva dans les bureaux de lEntreprise, il mordonnait de rester dans un coin et dattendre sagement et tranquillement, alors que Lui montait les escaliers en colimaçon. De là où jétais, il métait possible de voir le bureau dans lequel javais passé mon entretien, la veille. Celui-ci était éclairé, porte fermée. Lorsque le Maître y entrait, une voix connue, celle de Martial Montambert résonnait.
- Donne-toi salope, mieux que ça !, entendis-je subitement
Des cris sen suivaient
Peut-être sciemment, Monsieur le Marquis, après être entré, avait laissé cette porte entrouverte. Jentendais le claquement dun fouet puis encore les cris dune femme
Était-ce la secrétaire qui se faisait flageller ? Jentendais encore :
- Cette garce de salope ne progresse pas suffisamment vite, il va falloir que je Vous lenvoie une nouvelle fois en stage, Monsieur le Marquis.
- Avec grand plaisir !, rétorquait le Châtelain.
Autre claquement de fouet, autre cri
encore un
, autre jérémiade !
- Tends ton cul, chienne, offre-le à cette lanière !, exigeait le Maître.
Monsieur le Marquis avait pris les commandes alors que Martial Montambert sortait du bureau, dévalait les escaliers à toute allure. A grandes enjambées, il sapprochait de moi. A ma hauteur, sans un mot, il attrapait ma chevelure et mentrainait ainsi courbé, plié en deux, jusquà son bureau, me faisant monter les escaliers quatre à quatre. Toujours tenu de cette manière, dans la même posture, il mordonnait :
- Fous-toi à poil, salope, dépêche-toi !
Il me fallait être un peu acrobate pour me dévêtir ainsi, penché en avant, mon nez à quelques centimètres de la braguette de ce pervers Dominant
Je me débattais avec les lacets de mes chaussures, parvenait à les ôter, non sans mal ainsi que mes chaussettes, alors que jétais malmené, maintenu fermement par ma tignasse.
- Sens ma bite, hume-la, respire-la, tu la veux ma bite, répond le chien !
- Oui Monsieur, jespère votre bite !
- Tu la souhaites où ?, dis-moi, la pute.
- Dans ma bouche et dans mon cul, Monsieur, répondis-je en quittant enfin mon jean et mon slip !
- Et en plus gourmand ! Dans ta bouche et dans ton cul, tu nes vraiment quune sale petite pute !
Jétais nu
et à genoux devant une vulve se faisant doigter
La secrétaire était suspendue, attachée par les mains à des crochets fixés au plafond, ses pointes de pieds touchant à peine le sol, les cuisses maintenues largement écartées par une barre métallique allant dune cheville à lautre. Monsieur le Marquis visitait sa chatte, Ses doigts glissaient sur sa fente, écartaient les grandes et petites lèvres, Son majeur perquisitionnait et investissait cet orifice gluant.
- Elle est en chaleur cette chienne, elle mouille tant et plus !, constatait le Châtelain tout en la doigtant profondément et vivement, faisant aller et venir Ses longs doigts profondément et de vive allure
Monsieur le Marquis me tendait ensuite Ses doigts, tout juste sortis de cette intimité trempée, jouvrais la bouche, comme par instinct, sans que jen reçoive lordre, je les léchais, alors que Martial Montambert exigeait que je me mette à quatre pattes.
- Cambre ton cul, la pute !, mordonnait-il.
A cet instant, Monsieur le Marquis sortait Son sexe tendu à lextrême de Son pantalon. Il me lenfilait direct dans la bouche.
- Prépare-moi bien, petite putain !
Dépose ta salive sur ma queue, car je vais embrocher cette garce de salope sans aucune autre préparation. Regarde ! Sa chatte trempée ne demande quune seule chose, quon la prenne sans modération
Alors que je suçais le Maître, je sentais un doigt lubrifier et pénétrer mon anus
(A suivre
)
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